Les contes du chemin

Dans la tradition populaire, les conteurs étaient des colporteurs de paroles. De village en village, de hameau en hameau, d’oreille en oreille, le parcours se faisait souvent dans le cadre d’une culture régionale. Aujourd’hui, conteurs et conteuses, avons «les pieds rapides», nous déplaçant de ville en ville, de pays en pays, recherchant pourtant toujours ces oreilles attentives.

Dans «les contes du chemin», j’ai laissé dériver ma quête de parleur vers les 4 coins cardinaux. A la croisée des chemins, ce spectacle puise : dans le conte randonnée sud américain («le perroquet», «le baptême»), dans la légende juive de l’Europe de l’est (Abraham et David» ), dans la facétie méditerranéenne («Dj’ha»), dans le mystère oriental («le crâne et le pécheur»), dans le merveilleux occitan («l’ange et Baptistin» ).

Conter ces histoires c’est partager un grand plaisir avec un public, essayer de ne jamais perdre cette complicité de conversation avec l’auditoire.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *