1, 2 , 3 , 4 , 5 ,
1 … je sais un conte ( a dit le pouce )
2 …moi je sais comment le raconter ( a dit l’index )
3 …je vous protègerai ( a dit le majeur )
4 …mais il faudra s’envoler ( a dit l’annulaire )
5 …attendez-moi, et moi aussi moi aussi je veux voler (a dit le petit riquiqui)
Dans la tradition populaire, les conteurs étaient des colporteurs de paroles. De village en village, de hameau en hameau, d’oreille en oreille, le parcours se faisait souvent dans le cadre d’une culture régionale. Aujourd’hui, conteurs et conteuses, avons «les pieds rapides», nous déplaçant de ville en ville, de pays en pays, recherchant pourtant toujours ces oreilles attentives.
L’image de Dj’ha, personnage légendaire de la tradition méditerranéenne, ne cesse de se transformer à travers ses histoires. Celui qui a du mal à apercevoir le bout de ses babouches, percevoir l’horizon à l’infini, il cherche la lune dans le puits et la trouve dans le ciel, il est la risée des enfants et intrigue les puissants par sa raillerie. Tendre et cynique à la fois, il est un « Reste d’Enfance » dans l’imaginaire populaire.
C’est l’histoire de deux “mecs”. Ils sont amis depuis longtemps. Ils ont rendez-vous sur un banc public d’où ils ont souvent observé et commenté le monde. Ce jour là, ils décident de faire le point sur la vie, sur le chemin parcouru, sur les espoirs à venir.
Une compagnie de théâtre et une compagnie de danse se laissent entraîner sur le terrain du football et regardent un phénomène de société.
Comme très souvent, les versions populaires de ce conte se retrouvent dans divers pays France (Provence), Espagne, Portugal. Nous avons ici choisi une version Brésilienne